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La chapellerie Candelon de Marmande résiste aux travaux et envisage de vendre sa maroquinerie

2024-02-09 14:01:34.943000

La chapellerie Candelon, située dans la rue Charles-de-Gaulle de Marmande, existe depuis plus d'un siècle. Christophe Candelon a hérité de la boutique en 1971. La chapellerie s'est diversifiée au fil des années en ajoutant de la maroquinerie et de la bagagerie. La rue Charles-de-Gaulle a connu des travaux en 1986, mais cela n'a pas eu un grand impact sur les commerces de l'époque. Christophe Candelon témoigne des nombreux changements dans la rue au fil des années. Il redoute les prochains travaux, mais espère que cela apportera un nouveau souffle à la rue Charles-de-Gaulle. La maroquinerie Candelon sera mise en vente à la fin de l'année.

Les sinistrés des inondations à Merville, dans le département, tentent de se remettre des dégâts causés par les inondations. Certains ont commencé les procédures de remboursement auprès des assurances, mais sont préoccupés par la prise en charge de la franchise. D'autres sont toujours traumatisés et choqués par les événements récents. Certains ont été relogés, mais attendent avec impatience de pouvoir rentrer chez eux. Les sinistrés expriment également des regrets de ne pas avoir conservé les factures de leurs meubles endommagés.

Météo-France maintient sa vigilance rouge "crues" dans le département du Pas-de-Calais en raison d'un temps pluvieux toujours très important. Le département est également en vigilance orange pour les pluies et les inondations. Les averses devraient se faire plus fortes et plus fréquentes, avec des cumuls de pluie de l'ordre de 20 à 40 mm en 24 heures. Les maires de Blendecques et Saint-Omer ont été joints par Tony Estanguet pour assurer le soutien de l'État. L'Aisne a également été placé en vigilance orange "crues". Une soixantaine de départements sont en vigilance jaune pour les crues, le vent et les orages violents.

Les violences faites aux élus progressent. Le président de l’Association des Maires du Nord, Bernard Gérard, lui-même victime d'actes malveillants, constate une augmentation des violences envers les élus locaux du département. Il affirme qu'un nouveau cap a été franchi et que de nombreux élus n'osaient pas parler de ces violences auparavant. Il explique que certaines personnes ont perdu toute notion du dialogue et que le combat politique peut être rude, mais il est important de regarder vers l'avenir. Une proposition de loi sur la protection des élus est en cours de débat à l'Assemblée nationale, et Bernard Gérard espère que cela permettra de condamner ces attaques et de simplifier la vie des élus en leur fournissant les outils législatifs nécessaires.

Un tiers des propriétaires de biens immobiliers à La Réunion ne serait pas assuré contre les dégâts causés par des événements climatiques tels que le cyclone Belal et les intempéries. Selon le comité des assureurs Réunion-Mayotte, environ 30 à 35% des propriétaires ne sont pas assurés. Être assuré permet de remettre en état son bien après un vol, un incendie ou un cyclone. Les locataires sont également concernés, bien que l'assurance incendie-dégâts des eaux soit souvent exigée au moment de la signature du bail mais négligée au fil des années. En ce qui concerne les conducteurs, bien que l'assurance automobile soit obligatoire, environ 10% des conducteurs ne sont pas assurés. Le Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO) n'est pas valable lorsque le conducteur est l'auteur de l'accident, et la dette est transmissible aux enfants. Les non-assurés ne peuvent prétendre à aucune indemnisation, même en cas d'état de catastrophe naturelle. Les assureurs soulignent que les contrats d'assurance habitation sont abordables, avec une garantie de base à partir de 10 euros par mois. Être assuré permet de se prémunir contre les conséquences financières importantes en cas de sinistre.

L'agglomération de Perpignan renonce à remettre en état le cadran solaire Solart2 incendié par les gilets jaunes et accorde 60 000 euros à l'artiste Marc-André 2Figuères. L'œuvre, installée sur le rond-point du péage nord de l'autoroute A9, avait été inaugurée en 2015 et pesait 35 tonnes avec un diamètre de 70 mètres. La remise en état était estimée à 680 000 euros, mais l'agglomération a décidé de raser l'œuvre en raison de sa vulnérabilité et de la crainte de récidive. L'artiste a droit au respect de son œuvre même s'il l'a vendue, mais le juge peut tempérer ce droit dans certaines circonstances. La cour d'appel de Paris a déjà tranché en faveur de la collectivité propriétaire dans un cas similaire en 2020. L'agglomération se défend en affirmant que le dédommagement versé à l'artiste ne coûtera pas d'argent public car il correspond à l'indemnisation de l'assurance suite à l'incendie.

Le préfet a saisi le tribunal administratif pour statuer sur la légalité du marché entre la régie Parcs d'Azur et l'atelier Missor pour la construction de l'œuvre monumentale sur la place au-dessus du parking du même nom à Nice. La régie Parcs d'Azur a passé commande d'une statue monumentale de Jeanne d'Arc pour son futur parc. Le marché public a été passé sans mise en concurrence, ce qui a suscité des critiques de l'opposition municipale. Le préfet des Alpes-Maritimes a saisi le tribunal administratif pour statuer sur la légalité du marché. La préfecture estime que le contrat ne respecte pas les règles de la commande publique. La régie Parcs d'Azur estime être dans son bon droit et souligne que l'atelier Missor a déjà réalisé une statue de Napoléon pour la ville de Nice. Le président de la régie a suspendu l'exécution du marché en attendant la décision de la justice.

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